Tu roules sur l'art
Les fresques picturales sur des portions de la Vélodyssée nous initient à une rencontre entre l'art et les mobilités douces et nous invitent à cheminer vers le PARCC, à Labenne.
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Trois fresques ont été réalisées par des artistes sur la Vélodyssée à Messanges, Seignosse et Labenne, et invitent à cheminer vers le PARCC, qui ouvrira ses portes aux publics, le samedi 8 juin.
Porté par la communauté de communes et l’association Kunos, le projet, labellisé Olympiade Culturelle, est le fruit de l’imagination de trois artistes locaux : Aude Samut, Delwood et Naïf, sous la direction artistique du sculpteur Didier Bies. Les fresques seront réalisées avec des peintures respectueuses de l’environnement et certifiées anti-glissance.
L’objectif des fresques est de créer du lien entre le sport, l’expérience artistique et la mobilité durable. Ces créations constitueront aussi un cheminement symbolique entre le nord et le sud du territoire, pour amener les publics à découvrir le PARCC, centre d'art à Labenne au travers d’oeuvres accessibles à tous. Après ces trois premières fresques, le projet devrait s’étendre sur d’autres communes.
Alabama
A vol d'oiseaux - Seignosse
Quelle manière plus poétique d’aller d’un point à un autre qu’à vol d’oiseau ? Cette fresque inspirée des paysages landais au travers de sa palette de couleurs et de son motif organique permet de prendre de la hauteur pour avoir le point de vue des oiseaux. Elle amène le voyageur à prendre doucement du recul pour regarder les choses dans leur ensemble.
Delwood
Confluence - Labenne
L'art en mouvement dans une transition, comme propulser vers l'inconnu le voyageur à vélo génère l'énergie créatrice qui pousse sa réflexion sur les paysages. Cette même réflexion en mouvement génère une énergie pour mieux cisailler et favoriser l'entrée dans le vent, Delwood souhaite symboliser le mouvement libre de réinventer un déplacement fluide et contemplatif à travers son œuvre.
Naïf
Cheminer dans la couleur - Messanges
La Couleur comme source d'un voyage dans l'imaginaire et d'une contemplation de l'instant. Elle engendre ainsi une sorte de ralentissement et permet donc une mobilité plus douce et plus proche du vivant.
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